18 décembre 2018

Lanzarote J3 - Caldera Blanca - Plage de Famara

Lever matinal pour profiter du lever de soleil sur la plage, Stéphane a toujours du mal à se lever, tandis que je démarre au quart de tour le matin !
Pour le programme de cette journée, nous délaissons la voiture au profit de LA randonnée à ne pas manquer à Lanzarote, qui permet de découvrir la magnifique Caldera Blanca et la vue à 360° depuis le sommet sur tout le parc national des volcans.
Nous nous garons à la sortie de Mancha Blanca. La première partie est une longue traversée dans les champs de lave. 
Il est alors possible, même si ce n'est pas balisé, de faire le tour de la Montana Calderata, avant de rejoindre le sentier qui monte à Montana Blanca.
Stéphane me dit d'avancer pour me rejoindre après, il est en mode sport..., et quand je comprends qu'il a choisi de faire le tour de ce premier volcan sans moi, je reviens sur mes pas pour le faire aussi sans qu'il s'en rende compte, j'en suis parfaitement capable, mais pourquoi veut-il me priver de ce spectacle ? 
A part les panneaux informatifs sur le volcanisme en bas, il n'y a aucune indication sur les nombreux sentiers qui se rejoignent plus ou moins... Je vais donc naviguer à vue quand Stéphane n'est plus en vue (la descente de la Calderata est un peu technique pour moi).
Ensuite, c'est facile même si ça grimpe, on est dopé par le paysage !


Superbes souvenirs de cette journée au milieu des volcans du centre de l'île !
Il est 15h30 à présent, nous décidons de finir l'après-midi à la plage de Famara, une des 10 plus belles plages de Lanzarote. 6 km de sable fin, mais avec le vent et le soleil déjà bas en cette saison, il s'agit plus d'un spot pour surfer que pour bronzer !
Le drapeau est rouge, et à peine en maillot de bain, j'ai déjà froid !
Le soir à l'hotel, petites séquences de jolies lumières et découverte d'une très jolie crèche cachée dans les feuillages du grand hall.
Nous dinons copieusement à chaque fois, difficile de résister aux grands buffets à volonté !

17 décembre 2018

Lanzarote J2 - El Golfo - Las Salinas - Papagayo

Le ciel est couvert sur le bord de mer, mais il ne faut pas s'y tromper, les nuages vont vite laisser place à un grand ciel bleu. 
Aujourd'hui, roadtrip en voiture avec pauses photos sur les sites remarquables le long de notre route sur la côté SE de l'île.
Nous commençons par aller voir la célèbre lagune verte, appelée "Charco Verde", située à gauche du village de pêcheurs El Golfo.
La couleur verte s'explique par la présence d'organismes végétaux en suspension et par la grande salinité de l'eau. Malheureusement nous sommes en contre-jour et je comprends vite qu'il faudra y revenir le soir pour voir les couleurs carte postales de ce vert contrastant avec le rouge de la roche et le bleu de l'océan.
Je suis très déçue qu'on ne puisse plus descendre sur la plage et aller jusqu'au rocher en face, lequel devient inaccessible puisque la route de l'autre côté est fermée ! J'enfreins les restrictions et j'y vais quand même...
Un peu plus loin, nous nous arrêtons sur le site de "Los Hervideros" aux sources bouillonnantes.
Dans cet univers chaotique de laves pétrifiées, l'océan s'engouffre avec fracas dans une petite baie au fond de laquelle se trouvent deux grottes voûtées. Quelques petits sentiers parcourent l'endroit et un escalier permet d'accéder à un balcon offrant une vue saisissante sur les éléments déchaînés.
On a aussi de belles vues sur les volcans Montana Bermeja et le Pico Redondo.
Nous poursuivons jusqu'aux salines de Janubio. Nous sommes étonnés de n'y voir presque personne, mais il est 13 h.
La construction des salines a commencé en 1895, par Vicente Lleó Benlliure, la famille Padrón Lleó exploite encore le site. Jusque dans les années 1970, la production de sel atteignait 10 000 tonnes par an. Le sel était utilisé principalement pour la salaison du poisson. Du fait de la baisse de la demande, l'activité a été considérablement réduite depuis, au début du 21ème siècle, elle est de 2 000 tonnes par an.
Les bassins sur l'ouest de la lagune ont été abandonnés dans le milieu du 21ème siècle , les ruines des installations subsistent et confèrent au site une sigulière beauté. Nous faisons donc une pause pique-nique face à ces vues superbes.
Nous atteignons ensuite Playa Blanca où nous nous garons à la sortie de la ville.
Nous longeons les célèbres plages de la côté Est : en particulier celle de Mujeres avant d'atteindre la célèbre petite crique de Papagayo. Même tard le soir en décembre, il y a du monde !
Les touristes y viennent plutôt en voiture, péage de 3 € pour emprunter une piste en terre plus ou moins cabossée sur plusieurs kilomètres.

Nous reviendrons là quelques jours plus tard pour voir la plage au soleil et faire une belle randonnée dans los Ajaches.

16 décembre 2018

Lanzarote J1 - Monte Corona - El Rio

Nous arrivons à Lanzarote samedi soir, 18°, ciel clair. En journée il fait 22°, le top pour refaire le plan de Vitamine D au soleil. Après ces journées sous la grisaille parisienne et une overdose de travail, cette petite semaine de vacances aux Canaries est la bienvenue !
C'est la 3ème île que je découvre avec plaisir, chacune ayant visiblement un charme bien à elle.
Nous sommes à l'hôtel Grand Teguise Playa à Costa Teguise, un vaste complexe hôtelier tout confort qui manque un peu de charme, sauf la nuit ! Car c'est bientôt Noël et on profite des guirlandes et du sapin qui illumine le hall très joli avec des lianes tombantes. On est à 2 minutes à pied de la plage del Jablillo. Nous ne profiterons ni de la piscine, ni de cette plage, hormis la vue depuis le balcon de la chambre avec de beaux levers de soleil, parce que nos visites nous prennent trop de temps. Il fait jour à 7h40, et nuit à 18 h en cette fin décembre. 
Le lendemain matin, pour notre première journée, nous décidons d'aller faire une petite randonnée au volcan de la Corona qui culmine à 609 m d'altitude (dernière éruption il y a 3000 ans), puis d'aller voir la vue au Mirador del Rio 2 km à côté.
Nous avons voulu approcher le volcan par le côté gauche, mais le sentier était mal tracé, et l'on s'est vite retrouvé à grimper dans la pente raide des petits gravillons bruns et rouges qui bordent le cratère, un peu acrobatique et aucun sentier rassurant pour faire le tour. Nous décidons de rebrousser chemin, un peu en contre-bas, je quémande la pause pique-nique, et de là, nous décidons de monter par la droite ce qui nous permet de rejoindre un petit sommet pour redescendre par le sentier bien balisé qui mène au village de Yé par les vignes (plutôt dépouillées en décembre). Nous resterons frustré de ne pas avoir fait le tour, et cette boucle de 8 km dont une partie sur la route pour rejoindre la voiture, nous aura pris plus de temps que prévu.


Nous finissons donc la journée par le mirador del Rio, le soleil est déjà bien bas, et l'atmosphère est brumeuse.
Pourtant la vue sur l'ile de la Graciosa en face est grandiose. Nous reviendrons un matin par ciel clair pour en profiter d'avantage.
Le mirador est une arnaque, il faut payer pour accéder au belvédère (le bâtiment au design Manrique intégré à la nature oblige), alors que l'on voit le même paysage depuis les falaises en bord de route !



12 décembre 2018

Coucher de Soleil au point de vue du camp de Chailly

Avec tout ce travail, je n'ai pas réussi à rentrer tôt dans l'après-midi de ce mercredi alors qu'il faisait si beau aujourd'hui ! Alors  même s'il est tard, je pars pour 2 petites heures de promenade en forêt avec un aller-retour du parking de l'Epine Foreuse au point de vue du Camp de Chailly. Il fait froid mais le bon air me fait du bien.

5 décembre 2018

Noël aux grands magasins de Paris

Tradition oblige : aller voir le sapin de Noël aux Galeries Lafayettes ! Je préférais celui de l'an dernier, plus animé et coloré, mais ce n'est qu'une question de goût. La magie opère quand même.
Et puis j'en ai profité pour découvrir la terrasse du Printemps qui propose de belles vues sur Paris, dommage qu'une partie soit fermée au public, du coup je n'avais que des contre-jour. Il aurait fallu attendre le coucher du soleil pour mieux en profiter. Mais il ne faisait pas assez chaud pour attendre 1 à 2 heures. La fatigue a pris le dessus, je rentre à la maison, Paris sera toujours là si je veux y revenir un autre jour !